Alcool. 


La diplomatie se fait aussi durant les cocktails et les dîners. Les sollicitations sont nombreuses et les dérives possibles.

Or, l’ivresse n’est «pas acceptable», prend soin de préciser le Guide. «J’ai tellement vu de collègues faire des gaffes après un verre de trop que j’ai décidé de ne pas courir ce risque. Je ne bois plus que de l’eau», confie une diplomate.

Est-ce l’attitude la plus répandue? Le Guide d’éthique ne prône en tout cas pas une méthode aussi radicale.

Mais le problème semble bien réel dans certaines enceintes, puisqu’un représentant américain à l’ONU a appelé ses collègues à bannir l’alcoollors des réunions difficiles pour éviter les dérapages. Et en 2010, l’amour immodéré du Bourgogne a conduit un consul général à Hong-Kong à démissionner après en avoir volé deux bouteilles de grand prix.

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