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Le Sénégal réélu au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU

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Le Sénégal a été triomphalement réélu, mardi, avec 188 voix, lors du renouvellement des Etats membres du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, rapporte le quotidien Le Soleil.

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’’Sénégal a été brillamment réélu, hier par l’Assemblée générale de l’ONU comme membre du Conseil des droits de l’homme pour un nouveau mandat de trois ans. C’était dans le cadre de la 75ème session ordinaire de ladite assemblée’’, écrit le journal dans son édition de ce mercredi.

Le Sénégal réélu au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU

Le Sénégal ’’est arrivé premier du groupe Afrique à l’issue du vote, comme ce fut le cas, il y a quelques années, lors de son élection en tant que membre non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU’’, souligne la publication.

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’’Le Sénégal est arrivé en tête, tous groupes de pays confondus (africains, asiatiques, Europe de l’Est, Amérique latine et les Caraïbes et le groupe dit +pays occidentaux et autres+’’, ajoute le journal.

Le Ministère des pêches dénonce les allégations « totalement infondées » de Greenpeace

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rapport de Greenpeace révèle la présence de huit navires de pêche industrielle aux
rapport de Greenpeace révèle la présence de huit navires de pêche industrielle aux

Le ministère sénégalais des Pêches et de l’Economie maritime juge « totalement infondées » les allégations contenues dans un rapport de l’organisation non gouvernementale Greenpeace, lui reprochant d’avoir déclaré que des licences de pêche ont été octroyées à des navires étrangers par le Sénégal, et des usines de farine de poisson installées dans le pays.

« Le ministère des Pêches et de l’Economie maritime a découvert, ce samedi 10 octobre 2020, par voie de presse, un rapport de Greenpeace intitulé ‘Mal de mer’, dans lequel ladite ONG dénonce de supposées licences qui seraient octroyées à des navires étrangers, l’installation d’usines de farine de poisson », écrit le ministère dans un communiqué parvenu mardi à l’APS.

Le rapport de Greenpeace « fait état d’activités de pêche INN (pêche illicite, non déclarée et non réglementée) dans les eaux territoriales du Sénégal », selon le ministère.

« Les allégations totalement infondées contenues dans ledit rapport sont d’autant plus surprenantes qu’à plusieurs reprises, par voie de communiqués officiels, de contributions dans la presse, d’émissions de radio et de télévisions, etc., le ministère des Pêches et de l’Economie maritime a toujours apporté des éclairages, des précisions et des démentis, à chaque fois que cela s’imposait, à l’endroit des acteurs, de l’opinion publique nationale et internationale », argue le département ministériel.

Il affirme avoir discuté de la pêche au Sénégal avec les professionnels du secteur et les organisations qui s’y intéressent, dont Greenpeace, laquelle, selon le texte, a été reçue en audience par le ministre des Pêches et de l’Economie maritime, Alioune Ndoye, le 5 mai 2020.

M. Ndoye et ses collaborateurs dénoncent le soutien « sans faille » qu’apporte l’organisation de protection de l’environnement à « certains industriels » de la pêche et « l’acharnement » de ces derniers à son encontre.

Selon eux, Greenpeace est allée « jusqu’à signer la quasi-totalité des communiqués (…) publiés » par les industriels en question, « au risque de porter atteinte à sa crédibilité ».

Le ministère des Pêches et de l’Economie maritime « n’entend donner aucun crédit à un rapport qui n’est qu’une reprise [des] allégations erronées et toujours officiellement démenties de certains privilégiés de la pêche industrielle ».

« Aucun navire battant pavillon étranger ne peut, en l’état actuel de la réglementation sénégalaise, obtenir une licence de pêche au Sénégal si ce n’est sur la base d’un accord de pêche. Or, le Sénégal n’a d’accord de pêche qu’avec l’Union européenne, la Gambie, le Cap-Vert, la Mauritanie, la Guinée-Bissau et le Liberia », précise le ministère.

« La Chine n’ayant pas signé [un] accord de pêche avec le Sénégal, aucune licence ne peut dès lors être accordée à un bateau battant pavillon chinois. Tous les bateaux d’origine chinoise, espagnole, française, grecque (…) détenteurs [d’une] licence de pêche au Sénégal appartiennent à des sociétés reconnues, par acte notarié, de droit sénégalais », arguent Alioune Ndoye et ses collaborateurs.

Ils font valoir que ces navires sont « sénégalisés » suivant une procédure rigoureusement encadrée par la loi.

Ministère des pêches dénonce Greenpeace

« Tel a d’ailleurs été le cas, s’agissant des licences accordées, sur la base d’une procédure enclenchée depuis 2017, à des navires dénommés Fu Yuan Yu appartenant à la société FT2, établie au port [de Dakar] depuis plusieurs dizaines d’années et connue de tous les acteurs pour son apport très déterminant dans le développement du secteur », soutient le ministère des Pêches et de l’Economie maritime.

En ce qui concerne la pêche illicite, non déclarée et non réglementée, « Greenpeace semble incriminer huit navires de pêche industrielle ayant participé à des activités douteuses au cours de la période dite observée ».

Le ministère fait « noter que le Sénégal, à travers la direction de la protection et de la surveillance des pêches, soutenue dans sa mission par la Marine nationale, l’armée de l’air (…) dispose d’outils performants de surveillance active et passive des eaux sous sa juridiction », argue le communiqué.

C’est ce qui a valu au Sénégal d’être désigné en 2016, par le département d’Etat américain, « champion des océans », et de figurer en 2017 « dans le carré des pays membres d’Interpol chargés d’orienter la lutte contre la criminalité dans le secteur de la pêche ».

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« S’agissant des usines de farine et d’huile de poisson, il est à noter qu’aucune disposition légale ou réglementaire n’interdit leur implantation au Sénégal. C’est le département (le ministère des Pêches) qui, à la suite de larges concertations tenues en 2019, a décidé de geler la délivrance de nouvelles autorisations préalables ».

« Il n’a, dès lors, jamais été question d’une quelconque fermeture des unités en activité. Ces dernières doivent cependant se limiter à n’utiliser que les déchets et rebuts de poisson à titre principal et, accessoirement, les invendus, le cas échéant. Aucune possibilité ne peut (…) leur être offerte au Sénégal, présentement, d’utiliser du poisson frais pour alimenter leurs activités », précise le ministère des Pêches et de l’Economie maritime.

Il fait part de son « engagement inébranlable à œuvrer pour la préservation et la gestion durable de cette ressource nationale, conformément aux orientations stratégiques contenues dans la lettre de politique sectorielle et dans le strict respect des lois et règlements » du pays.

Le ministère promet de continuer « à agir et à interagir avec les acteurs de la pêche artisanale et industrielle », dans le « dialogue permanent » et la « fermeté ».

VIH : La Secrétaire Exécutive du CNLS insiste sur les Droits des ’’Groupes Vulnérables’’’

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La Secrétaire exécutive du Conseil national de lutte contre le Sida (CNLS), docteur Safiatou Thiam, a insisté sur le respect des droits des ’’groupes vulnérables’’ dans le cadre de la riposte au Vih.

’’Dans ce contexte, notre stratégie est guidée par le profil de l’épidémie mais aussi par la vulnérabilité de ces populations, aggravée par la stigmatisation, la discrimination et les VBG (Violences basées sur le genre’’, a-t-elle déclaré.

Elle s’exprimait, ainsi, mecredi, lors d’un atelier de validation du plan quinquennal sur les droits humains (2021-2025) qui se veut être le cadre de toutes les interventions sur les droits humains relativement au VIH et à la tuberculose.

D’après docteur Safiatou Thiam, la protection et la promotion des droits de l’homme sont indispensables pour protéger les personnes et leur santé, mais aussi, empêcher la propagation du VIH et atténuer ainsi l’impact socio-économique de cette maladie.

Elle a fait comprendre que le plan quinquennal est une opportunité de poursuivre et mettre en œuvre le programme déjà entamé pour assurer aux populations clés et groupes vulnérables leur droit à la santé.

Safiatou Thiam insiste sur Droits Groupes Vulnérables

’’En effet, depuis l’adoption de la loi VIH en 2010, le Secrétariat exécutif du CNLS et ses partenaires ont engagé le plaidoyer pour un environnement favorable à la réponse’’ à la maladie, a-t-elle rappelé.

’’Le VIH cesse d’être un objet de stigmatisation et les gens se prêtent volontiers aux tests de dépistage lorsque les populations vivent dans un milieu ouvert et favorable, à l’abri de la discrimination ; qu’elles sont traitées avec dignité ; qu’elles ont accès aux traitements, aux soins et à un appui’’, a encore déclaré Mme docteur Safiatou Thiam.

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Elle a souligné que le Sénégal a réalisé d’énormes progrès dans la riposte au Sida et les récents résultats montrent que les nouvelles infections révèlent que 81% des PVVIH (Personnes vivant avec le Vih) sont dépistées.

’’Près de 88% sont sous traitement et les services différenciés sont mis en place dans toutes les régions et l’environnement institutionnel est de plus en plus favorable malgré un contexte socio-culturel difficile et un cadre législatif à mettre à jour’’, a ajouté docteur Safiatou Thiam.

Rozen Bu Harlem, Un rappeur engagé dans la promotion de la citoyenneté

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Le rappeur Boubacar Baldé alias Rozen bu Harlem City déclare avoir mis en avant, dans son répertoire, le devoir de l’artiste dans la promotion et la vulgarisation de la citoyenneté et de la bonne gouvernance, en incitant notamment près de 2127 enfants de la région de Kolda (sud) à disposer d’extraits de naissance corrects, pour ne pas rater leurs examens scolaires.

’’Nous avons, après des échanges avec des responsables du secteur de l’éducation, compris qu’un nombre important de nos frères et sœurs ratent leurs examens, faute d’extraits de naissance corrects. Nous nous sommes dits que l’artiste en plus de chanter doit, grâce à sa musique, participer aux actes de bienfaisance, à la citoyenneté et à la bonne gouvernance. Et nous avons immédiatement lancé une vaste campagne de sensibilisation sur la question’’, a-t-il indiqué.

Rozen Bu Harlem

Le jeune chanteur, auteur-compositeur, s’entretenait avec l’APS en marge d’un séjour à Dakar ‘’en vue de profiter des infrastructures musicales (studios d’enregistrement surtout) de la capitale et des conseils avisés d’autres acteurs du milieu plus expérimentés’’.

’’Nous avions initié la caravane +rap scolaire+ ponctuée par des campagnes de sensibilisation dans plusieurs établissements scolaires de la région de Kolda. Et grâce à cette campagne, en 2017, plus de 2127 enfants ont pu obtenir des extraits de naissance corrects’’, a soutenu le rappeur.

’’Notre sensibilisation a eu les résultats escomptés et nous pensons que nous allons poursuivre nos actions dans ce sens. Oui, certains de nos parents n’ont pas été à l’école mais nous, nous avons eu cette chance. A l’école, nous avons appris et nous avons bien compris. Nous ne devrons pas voir nos jeunes rater leurs examens faute d’acte de naissance’’, a-t-il expliqué.

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Selon lui, les artistes sénégalais devront porter ce combat pour aider les enfants à trouver des extraits de naissance corrects.

‘’Nous devons sonner l’alerte. Nous devons être les défenseurs de notre cité pour amener nos jeunes sur le droit chemin’’, a insisté Rozen, présent sur la scène musicale depuis mai 2006.

Le rappeur séjourne à Dakar pour faire la promotion de sa musique, en profitant des médias qui sont essentiellement basés à Dakar, mais aussi enregistrer ses produits dans des studios de haute qualité.

’’Ce sont les médias qui peuvent faire vendre les productions des artistes. Ce sont ces médias qui peuvent propulser l’artiste’’, a-t-il fait savoir avant d’évoquer longuement le manque de moyens dont souffrent les jeunes artistes de sa région notamment.

’’’Aujourd’hui, nous, artistes de ma région, sommes à la recherche de producteurs. Nous voulons faire des albums, des vidéos, mais surtout avoir des studios de qualité chez nous. Cela nous évitera de parcourir près de 700Km de route pour rejoindre Dakar’’.

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Rozen Bu Harlem

Une fois à Dakar, souligne l’artiste, ’’nous sommes confrontés au problème de logement, de transport. Nous préférons disposer de bons studios chez nous et travailler sur place’’.

Rozen Bu Harlem est auteur de  » costume vert « , un titre consacré à l’environnement,  » thiossane ko Awdi », une chanson dédiée à la revalorisation de la culture du fouladou. Il projette de mettre sur le marché en décembre 2020 deux nouveaux titres : « fou dossiers yii tollou » et  » Aldiana firdaw si  » où il rend hommage à sa défunte mère et à toutes les mamans disparues

Il a aussi chanté  » Yallah aar nù, té bal nù ci coronavirus ».

Un cas de réinfection Covid-19 à 48 jours d’intervalle

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Covid un cas de réinfection à 48 jours d'intervalle
Covid un cas de réinfection à 48 jours d'intervalle

Aux États-Unis, un jeune homme de 25 ans a été contaminé au Covid-19 deux fois de suite à 48 jours d’écart.

Covid-19 un Américain contaminé deux fois de suite à 48 jours d’écart
Covid-19 un Américain contaminé deux fois de suite à 48 jours d’écart

En France, plus de 740 000 personnes ont été contaminées par le Covid-19. Autant de patients qui pensent maintenant être débarrassés du virus.

Peut-être pas. Aux Etats-Unis, un Américain de 25 ans a contracté le virus pour la deuxième fois à un mois et demi d’intervalle. Avec lui, il existe donc maintenant cinq cas de réinfection dans le monde entier.

Ce jeune homme, vivant dans le Nevada, ne souffre d’aucun désordre immunitaire ni d’aucune maladie prééexistante.

Après une première contamination mi-avril, accompagnée de symptômes (mal de gorge, toux, nausées), il a ensuite été testé négatif à deux reprises.

Covid-19 : un Américain contaminé deux fois de suite à 48 jours d’écart

Mais, le 5 juin, il souffre de symptômes plus lourds comme des difficultés respiratoires. Une deuxième infection plus violente que la première.

Après un nouveau test, il est donc déclaré une nouvelle fois positif au Covid-19. Aujourd’hui, le jeune homme se porte bien. Son cas personnel confirme la possibilité d’une réinfection malgré les anticorps.

Covid un cas de réinfection à 48 jours d'intervalle
Covid un cas de réinfection à 48 jours d’intervalle

Une analyse génétique a mis en évidence que ces deux infections ont été causées par deux souches différentes du coronavirus SARS-CoV-2. Le court délai entre les deux, 48 jours, interroge sur le délai d’efficacité des anticorps.

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Citée par France Inter, le professeur Odile Launay, infectiologue, estime que le jeune homme “a peut-être un déficit de l’immunité plus spécifique pour ce virus, ça peut être une hypothèse.

Ça peut-être aussi le fait que l’immunité est de courte durée et peut-être chez certaines personnes de plus courte durée encore”. Des cas de contamination qui, selon l’infectiologue, “invite a beaucoup de prudence sur les risques de se réinfecter quand on a déjà été infecté par ce virus”.

D’autres cas de réinfection ont déjà été rapportés en Belgique, en Équateur, aux Pays-Bas et à Hong-Kong.

Le port du masque reste nécessaire

Ce cas Américain a fait l’objet d’une étude publiée dans The Lancet Infectious Diseases. “Il y a toujours de nombreuses inconnues sur les infections au SARS-CoV-2 et la réponse du système immunitaire, mais nos travaux montrent qu’une infection antérieure pourrait ne pas nécessairement protéger contre une infection future “, a estimé le Pr Mark Pandori, auteur principal cette étude.

Selon ces résultats, il serait donc primordial de continuer à porter le masque et à respecter les gestes barrières même après une première infection.

“ Il faut davantage de recherches pour comprendre combien de temps dure l’immunité contre le SARS-CoV-2 et pourquoi certaines de ces deuxièmes infections, bien que rares, sont plus sévères “, estime le Pr Pandori.

Formes graves de Covid-19 : enfin une explication ?

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Formes graves de Covid-19 enfin une explication
Formes graves de Covid-19 enfin une explication

Enfin une explication sur les formes graves de Covid-19 ? Une tribune publiée dans The Conversation revient sur l’origine des formes sévères du Covid-19. Récemment, l’Inserm a identifié les premières causes génétiques et immunologiques expliquant 15 % des formes graves.

La réponse individuelle à l’infection par le virus SARS-CoV2 varie considérablement d’une personne à l’autre. Des divergences qui interrogent la communauté scientifique depuis le début la crise sanitaire.

Récemment, une étude menée par des chercheurs de l’Inserm, d’Université de Paris et de l’AP-HP à l’Institut de recherche Imagine (hôpital Necker-Enfants malades AP-HP), et de l’Université Rockefeller et du Howard Hughes Medical Institute à New York en collaboration avec l’équipe dirigée par le Pr Guy Gorochov au Centre d’Immunologie et des Maladies Infectieuses (Sorbonne Université/Inserm/CNRS), s’est penchée sur cette question.

Formes graves de Covid-19

L’équipe de chercheurs a identifié les premières causes génétiques et immunologiques expliquant 15 % des formes graves de Covid-19. “Ces malades ont un point commun : un défaut d’activité des interférons de type I, molécules du système immunitaire qui ont normalement une puissante activité antivirale”, note l’Inserm.

Dans une tribune publiée dans The Conversation, Matthew Woodruff, immunologiste à l’université Emory d’Altanta, est revenu sur ce qui peut causer des formes sévères de Covid-19.

Dans une récente étude, publiée dans la revue Nature, l’immunologiste avait accrédité l’idée que la lutte contre le virus était tout aussi importante que de prévenir la dysrégulation chez certains patients.

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Comme le raconte Matthew Woodruff, certaines études cliniques ont rapporté le déclenchement “d’orages cytokiniques” pendant lesquels la réponse immunitaire liée au virus produit une importante quantité de molécules inflammatoires. Ce qui entraîne ainsi l’inflammation de multiples systèmes d’organes.

“Chez ces patients, la réponse immunitaire censée être protectrice serait devenue destructrice”, rapporte l’immunologiste. Afin de soulager cette réponse immunitaire, les médecins ont eu recours à des stéroïdes.

“Le Covid-19 n’est pas une maladie auto-immune”

“Saisir comment fonctionne la dysrégulation immunitaire chez les patients atteints de Covid-19 pourrait permettre d’identifier les malades chez qui ces traitements seraient les plus efficaces.

Des approches plus ciblées et plus puissantes, permettant de moduler le système immunitaire, telles que celles actuellement réservées aux maladies auto-immunes, pourraient même être envisagées”, détaille l’article de The Conversation.

Avant de poursuivre : “Le Covid-19 n’est pas une maladie auto-immune. Les réponses inflammatoires de type auto-immunes que mon équipe a découvertes pourraient simplement refléter la réponse normale face à une infection virale devenue incontrôlable”.

Pour le moment, les scientifiques ne savent pas pourquoi seulement certains patients développent une si forte réponse.

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“Médecins et scientifiques doivent continuer à conjuguer leurs efforts pour construire notre arsenal thérapeutique, en gardant à l’esprit que, dans certains cas, le contrôle de la réponse immunitaire pourrait être aussi important que le contrôle du coronavirus SARS-CoV-2 lui-même”, conclut Matthew Woodruff.

La tragique histoire de Joe Biden : l’accident qui a emporté sa première femme et sa fille

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La tragique histoire de Joe Biden l'accident qui a emporté sa première femme et sa fille
La tragique histoire de Joe Biden l'accident qui a emporté sa première femme et sa fille

La carrière et la personnalité de tous les politiques sont toujours influencées par leur passé. Mais l’histoire de Joe Biden est particulièrement poignante.

La tragique histoire de Joe Biden l'accident qui a emporté sa première femme et sa fille
La tragique histoire de Joe Biden l’accident qui a emporté sa première femme et sa fille

L’homme de 77 ans faisait ses premiers pas en politique quand il a vu sa vie à jamais bouleversée par la mort de sa femme et de sa fille.

L’accident, qui a eu lieu en 1972, n’a pas seulement brisé la vie personnelle du candidat à la présidence. Son comportement en public a également changé.

Qui était la première femme de Joe Biden ?

Joe Biden rencontre Neilia Hunter sur la plage à Nassau lors du spring break de 1963. Ils sont alors respectivement étudiante en 2e année à l’université de Syracuse et étudiant en 3e année à l’université du Delaware.

Sa licence en poche, Biden déménage à Syracuse pour étudier le droit. Le couple se marie en 1966, alors qu’il est encore étudiant.

À la sortie de l’université, ils emménagent à Wilmington, dans le Delaware, où il pratique le droit et obtient un siège au conseil du comté de New Castle en 1970. Le couple donne naissance à trois enfants, deux fils, Beau et Hunter, et une fille, Naomi, surnommée Amy.

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En 1972, Biden est candidat au poste de sénateur américain pour le Delaware, et sa femme joue un rôle clé dans sa campagne. C’est la victoire, et en novembre cette année-là, Biden, qui n’a alors que 30 ans, remporte le siège face au candidat républicain sortant, J. Caleb Boggs.

Comment la femme de Biden, Neilia et leur fille Naomi sont-elles mortes ?

Quelques semaines à peine après son élection, alors que Joe Biden est à Washington et fait passer des entretiens d’embauche pour sa nouvelle administration, il reçoit un appel qui change à jamais sa vie.

On lui annonce que Neilia et Naomi, qui n’a alors que 13 mois, ont été tuées dans un accident de voiture. Elles étaient parties faire des achats de Noël. Hunter et Beau, qui ont respectivement quatre et trois ans, sont dans un état critique.

Joe Biden évoque cette tragédie dans un discours à Yale en 2015 en décrivant le moment où il a reçu cet appel : “Six semaines après mon élection, mon monde tout entier a changé à jamais. Alors que j’étais à Washington pour embaucher du personnel, j’ai reçu un appel téléphonique.

Ma femme et mes trois enfants faisaient les courses de Noël, un camion-remorque les a heurtés et a tué ma femme et ma fille. Et ils n’étaient pas sûrs que mes fils vivraient”.

Lors d’un discours de campagne en 2008, Biden parle ouvertement du moment où il a vu ses enfants à l’hôpital après l’accident.

Comment la mort de sa femme et de sa fille a-t-elle affecté la carrière de Jo e Biden ?

La mort de Neilia et Naomi a clairement façonné la carrière politique de Joe Biden. Il prête serment au chevet de ses fils à l’hôpital et fait quotidiennement le trajet qui sépare Washington du Delaware pour passer du temps avec ses fils, ce qui lui vaudra le surnom d’“Amtrak Joe” (Amtrak est une entreprise ferroviaire américaine).

Lors de son discours à Yale, il explique : “J’ai commencé à faire ce trajet quotidien en pensant que je ne resterais sur place que quelques heures, quatre par jour, tous les jours. Je voyageais de Washington à Wilmington, un trajet que j’ai fait pendant 37 ans.

Je l’ai fait parce que je voulais pouvoir leur souhaiter bonne nuit et les embrasser au réveil le lendemain matin… Mais avec le recul, si je dois être parfaitement honnête, la véritable raison pour laquelle je rentrais chez moi tous les soirs, c’est que j’avais besoin de mes enfants plus qu’ils n’avaient besoin de moi”. Biden décrit son dévouement pour ses fils comme sa “rédemption”.

En 2015, la famille connaît une autre tragédie et Beau décède d’une tumeur cérébrale.

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Dans son livre paru en 2017 et intitulé “Promise Me, Dad” (“Promets-moi, papa”), Biden a les mots suivants : “La douleur était intolérable au début, j’ai mis beaucoup de temps à m’en remettre, mais j’ai survécu à ce calvaire. Je m’en suis sorti, avec beaucoup de soutien, et j’ai reconstruit ma vie et ma famille”.

Le démocrate, qui s’est ensuite marié à son épouse actuelle, Jill, en 1977, a expliqué en quoi ces expériences l’avaient aidé à créer des liens avec des électeurs qui avaient vécu des tragédies similaires.

Dans un entretien accordé à MSNBC, il déclare : “Vous seriez étonné de savoir le nombre de personnes qui viennent me voir. Plusieurs centaines d’hommes et de femmes qui me prennent dans leurs bras et me disent : “Je viens de perdre mon fils, je viens de perdre mon père, je viens de perdre ma femme”. Et ils veulent simplement être sûrs que vous allez y arriver”.

Enlevé à 5 ans, un jeune Indonésien retrouve sa famille grâce à Google Maps

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Bonne nouvelle. Enlevé à 5 ans, un jeune Indonésien retrouve sa famille grâce à Google Maps
Bonne nouvelle. Enlevé à 5 ans, un jeune Indonésien retrouve sa famille grâce à Google Maps

Bonne nouvelle. Enlevé à 5 ans, un jeune Indonésien retrouve sa famille grâce à Google Maps. Un jeune Indonésien kidnappé à l’âge de 5 ans a retrouvé sa famille onze ans plus tard grâce à Google Maps. Une histoire rocambolesque relayée par le Jakarta Post et repris par Kafunel.com.

La dernière fois qu’Ervan Wahyu Anjasworo avait vu ses parents, c’était avant de sortir de chez lui pour se rendre dans un magasin de jeux vidéo.

Enlevé par un artiste de rue alors qu’il avait 5 ans, le garçon a vécu de nombreuses mésaventures. Devenu un jeune homme de 17 ans, il vient de retrouver sa famille grâce à Google Maps onze ans plus tard, relate le Jakarta Post.

Enlevé à 5 ans

Le jeune Indonésien raconte qu’il a “vécu dans la rue pendant deux ans” après son kidnapping. Son ravisseur le mène de ville en ville pour le faire travailler, d’abord dans la commune voisine de Surakarta puis jusqu’à l’extrémité ouest de l’île de Java, près de Jakarta.

Dans la ville de Bogor, l’homme qui l’a enlevé panique à l’approche de voitures de police et abandonne le garçon. Ervan est retrouvé dans une mosquée où le chef d’une patrouille de police locale décide de le recueillir.

Son histoire rocambolesque prend un nouveau virage quelques mois plus tard, lorsque son nouveau protecteur décède. Une structure sociale prend en charge l’enfant qui rejoint un pensionnat islamique. Il y étudie huit ans jusqu’à un nouveau rebondissement raconté par le quotidien indonésien.

Le marché de son enfance sur Google Maps

Lors d’une formation professionnelle, le jeune homme de 17 ans erre virtuellement dans les villes indonésiennes grâce au logiciel Google Maps. “J’ai d’abord recherché [la ville de] Solo [également appelée Surakarta])”, a-t-il expliqué au quotidien Kompas.

J’ai ensuite vu qu’à proximité il y avait [les villes de] Wonogiri, Boyolali et Sragen. Je les ai parcourues une à une jusqu’à retrouver le marché traditionnel de Gonggang, à Sragen, dont je me souvenais pour y être allé enfant.”

Un travailleur social auprès du jeune homme prévient alors ses collègues de Sragen qui lui font parvenir un album de photos, explique le Jakarta Post.

“Je me souvenais encore des visages de mon père, de ma mère, de mes frères et sœurs”, confie le jeune homme qui retrouve alors sa famille, perdue de vue depuis de nombreuses années.

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Un cas de Covid-19 rapporté à Matam

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Un cas de Coronavirus rapporté à Matam. La région médicale de Matam (nord) a enregistré un nouveau cas de Covid -19 au cours des dernières 24h, a-t-on appris.

Un cas de Covid-19

Cette nouvelle infection concerne une contamination issu de la transmission communautaire localisé à Ourossogui, selon le médecin-chef de la région médicale Mama Moussa Ndiaw.

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A ce jour la région de Matam compte 46 cas positifs dont 44 déclarés guéris, 01 décès et un patient un sous traitement.

Communiqué du conseil des ministres du 14 octobre 2020

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Conseil des Ministres – Dernier compte-rendu. Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 14 octobre 2020, à 10 heures, au Palais de la République.

Le Chef de l’Etat, à l’introduction de sa communication, s’est réjoui de la brillante réélection du Sénégal par l’Assemblée générale des Nations unies comme membre du Conseil des Droits de l’Homme pour un nouveau mandat de trois (3) ans, avec un score 188 voix sur 190, soit 99% des votes valablement exprimés, score le plus élevé.

Cette reconnaissance des Nations unies, confirme le rayonnement international du Sénégal en matière de démocratie, de libertés publiques, de justice, de protection et de respect des droits de l’Homme.

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Le Chef de l’Etat a, ensuite, évoqué le renforcement de la veille dans la gestion de la pandémie de la COVID-19.

Conseil des Ministres_le-gouvernement-2019
Conseil des Ministres_le-gouvernement-2019

A cet effet, il a notamment demandé aux Ministres en charge de la Santé, de l’Intérieur, des Forces armées et des Transports aériens, de veiller, particulièrement, au niveau de nos frontières, à la maîtrise des cas importés qui se sont multipliés au cours de ces dernières semaines.

Il a demandé au Gouvernement d’accentuer la sensibilisation des populations pour éviter une nouvelle vague de contamination

Le Président de la République a, par ailleurs, informé le Conseil de la célébration, le 16 octobre 2020, de la journée internationale de l’alimentation sur le thème : « Cultiver, nourrir, préserver. Ensemble, agir pour l’avenir ».

A ce titre, il a engagé les ministres concernés à consolider la dynamique de concertations avec l’ensemble des acteurs, en vue de renforcer la souveraineté alimentaire du Sénégal, la politique de nutrition, de même que l’ancrage systématique de la doctrine du « Produire et du Consommer local ».

Le Chef de l’Etat a, dans cet élan, exhorté le Gouvernement à organiser, pour toutes les filières, une bonne campagne de commercialisation agricole.

CONSEIL DES MINISTRES — 07 OCTOBRE 2020

Le Président de la République, revenant sur la transformation de l’économie informelle, afin d’asseoir l’émergence, a signalé au Gouvernement, l’urgence de bâtir des stratégies innovantes d’encadrement, de financement et de promotion de l’auto-entreprenariat, l’autonomisation des femmes, afin de préserver durablement les activités économiques et la stabilité sociale globale.

Le Chef de l’Etat a, dans cet esprit, rappelé sa décision de mettre en place, depuis 2018, la Délégation Générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) dont les interventions depuis sa création, se situent à 57,78 milliards FCFA de financements accordés à plus de 105 000 bénéficiaires et 95 000 bénéficiaires indirects .

Le Président de la République a, au chapitre du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, demandé au Ministre de la Culture de procéder, avec toutes les parties prenantes, à l’évaluation institutionnelle et financière de la SODAV et à la mise en place, fonctionnelle, de la Commission permanente de Contrôle des sociétés de gestion collective.

Le Chef de l’Etat a, en outre, invité le Ministre en charge du Cadre de vie, à intensifier le déploiement national des actions et projets du programme « Zéro déchet », après avoir salué les résultats encourageants déjà obtenus.

A lire aussi  Communiqué du conseil des ministres du 30 septembre 2020

Le Président de la République a, par ailleurs, réitéré au Ministre de l’Eau et de l’Assainissement, ses directives relatives à l’évaluation et à l’actualisation de la réforme de l’hydraulique rurale, par rapport à l’application effective des engagements pris par le secteur privé dans le cadre des délégations de service public de l’eau potable.

Conseil des Ministres du 1er Avril 2020
Conseil des Ministres du 1er Avril 2020

Le Chef de l’Etat s’est également félicité des réalisations significatives du Programme décennal de Lutte contre les inondations, exécuté, en octobre 2020, à hauteur de 506.714.000.000 FCFA, soit un taux appréciable de 66, 07 %.

Le Président de la République a, dès lors, demandé au Gouvernement de poursuivre, en mode « Fast track », l’exécution optimale de la Stratégie nationale de Prévention et de Lutte contre les inondations sur la période 2020-2022 et de mobiliser les ressources budgétaires nécessaires, 15 milliards FCFA, pour l’amorçage rapide, dans la zone prioritaire de Keur Massar, de la deuxième phase du PROGEP, qu’il a validée.

Il a, dans cette perspective, requis la finalisation du dispositif réglementaire fixant le cadre harmonisé des interventions en matière d’assainissement.

Le Chef de l’Etat a, enfin, invité les Ministres concernés à veiller, en relation avec le Gouverneur de la Région de Dakar, à la préservation de toute occupation, des zones non aedificandi, notamment la libération immédiate des emprises de l’exutoire du Marigot de Mbao.

Le Président de la République, abordant le suivi de la coopération et des partenariats, a salué la célébration, le 12 octobre, du 20e anniversaire du Forum sur la Coopération Economique Sino-Africaine dont la prochaine Conférence se tiendra au Sénégal en 2021.

Le Chef de l’Etat a clos sa communication sur son agenda diplomatique, en informant le Conseil de sa visite d’amitié et de travail les 15 et 16 octobre au Nigéria, de sa participation le 14 octobre à une visioconférence organisée par le Fonds Vert Climat sur le Financement de l’énergie propre, qui apporte un concours de 75,45 millions d’euros (environ 50 milliards de FCFA) au Sénégal pour l’électrification solaire rurale de 1.000 villages.

Communiqué du Conseil des ministres du 8 janvier 2020
Communiqué du Conseil des ministres du 8 janvier 2020

A lire aussi  Le Communiqué du Conseil des Ministres du 23 septembre 2020

Au titre des textes législatifs et réglementaires, le Conseil a examiné et adopté :

– Le projet de loi autorisant le Président de la république à ratifier la convention multilatérale pour la mise en œuvre des mesures relatives aux conventions fiscales pour prévenir l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices, signée à Paris le 07 juin 2017 ;

Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris la décision suivante :

Monsieur Aboubakry SOKOMO, expert en management des Organisations, précédemment Enseignant-chercheur en Sciences de Gestion à l’Institut Universitaire de Technologie (IUT), est nommé Directeur des Constructions des Palais de Justice, en remplacement de Monsieur Amadou Abdoulaye DIOP.

Fait à Dakar le 14 octobre 2020
Le Ministre, Porte-Parole du Gouvernement
Ndèye Tické Ndiaye DIOP

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