Malgré les progrès de la prévention, les docteurs des clubs professionnels s’attachent à apaiser les craintes des joueurs, ravivées par les décès récents dus à un arrêt cardiaque.

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Quinze après le décès de Marc-Vivien Foé, le 26 juin 2003, au stade de Gerland, les disparitions récentes du Florentin Davide Astori et du Tourangeau Thomas Rodriguez ont remis sur le devant de l’actualité le mystère de la mort subite.

Entre-temps, des examens annuels ont été rendus obligatoires dans les clubs pros en France : électrocardiogramme, échographie cardiaque et, en cas d’anomalie, IRM cardiaque.

« À chaque fois qu’un joueur tombe, on sent un peu d’inquiétude… observe Jean-Philippe Gilardi, médecin de l’OGC Nice».

«La recherche évolue et met parfois en évidence de nouvelles pathologies inconnues auparavant».

«Les limites sont là, il doit bien y avoir des choses qu’on ne sait pas encore détecter parce que ça fait quand même beaucoup de cas malgré toutes les batteries d’examens de présaison. Alors, depuis quelques années, dès qu’on a un doute, on…»

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