🚨Kafunel LIVE : Edition spéciale Tendances Elections présidentielles du 24 Mars 2024 – Elections présidentielles du 24 Mars 2024. Les bureaux de vote ont fermé à 18 heures sur l’ensemble du territoire. L’opération de dépouillement s’est effectuée dans les bureaux de vote sous l’œil vigilant des observateurs.
Table des matières
Tendances Elections présidentielles du 24 Mars 2024
Beaucoup d’électeurs n’ont pas pu voter à Keur Massar. Cette banlieue de Dakar étant devenue un département en 2021, il a fallu faire de nouvelles cartes aux électeurs qui étaient censés aller les récupérer.
Ces derniers ne l’ayant pas fait, leurs anciennes cartes portent encore le « département de Pikine ».
Pour Salimata Baldé, directrice de l’école primaire d’Aïnoumady et responsable du centre viking d’Aïnoumady à Keur Massar, c’est une triste réalité qu’elle a constaté dans son centre dans la journée.
Elle explique qu’on a changé le statut de certains électeurs depuis que Keur Massar a été érigé en département, mais ces électeurs ne sont pas allés retirer leurs cartes au niveau de la Commission électorale.
« Je me suis déplacé pour venir voter. C’est ici qu’ils m’empêchent en disant que je ne peux pas voter parce que Keur Massar est devenu un département», regrette Louis Basse, rencontré au centre de vote de Keur Massar, qui a une carte sur laquelle il est marqué département de Pikine.
Une tension a régné aux alentours de ce centre de vote tout au long de la journée de ce dimanche, même si dans l’ensemble tout s’est bien passé. Le même souci s’est posé dans la diaspora où dans certains pays, les Sénégalais ont eu des difficultés à voter.
Vote dans la diaspora
« La Clôture du scrutin initialement prévue à 18 heures locales, est prorogée jusqu’à 19 heures locales pour les lieux de vote suivants de la circonscription électorale Paris-Consulat, Creil et Paris», a indiqué Ahmadou Diallo, Consul Général du Sénégal à Paris dans une note rendue publique.
En France, des Sénégal n’ont pas pu accomplir leur devoir, et vers la fin de la journée le consulat s’est vu dans l’obligation de proroger l’heure de fermeture des bureaux de vote.
Toutefois, dans l’ensemble de la diaspora, le vote s’est bien déroulé avec un taux de participant très encourageant.
🚨Kafunel LIVE : Edition spéciale – Elections présidentielles du 24 Mars 2024
Après le dépouillement des votes à partir des procès-verbaux des bureaux de vote, la commission départementale procède également à son tour au recensement des votes transmis par les commissions départementales.
La commission départementale qui effectue le recensement des votes et publie les résultats au niveau départemental au plus tard le mardi qui suit le scrutin à minuit.
Présidentielle 2024 au Sénégal … le déroulement du vote à la mi-journée. Le vote pour le compte de l’élection présidentielle se déroule depuis ce dimanche matin au Sénégal. Jusqu’à la mi-journée, ils sont toujours nombreux, ces citoyens en âge de voter, à affluer vers les centres de vote pour faire leur choix parmi les 19 candidats en lice pour la magistrature suprême.
Table des matières
Déroulement du vote à la mi-journée
C’est la mobilisation des grands jours dans les 16 000 bureaux de vote sur toute l’étendue du territoire sénégalais ce dimanche. Tous veulent accomplir leur devoir citoyen. De longues files d’attente se sont formées devant la plupart des bureaux de vote avant même leur ouverture ce matin à 8 heures.
Que ce soit à Mbacké, Touba, Zinguinchor, Ndiaganio, Fatick, Thiès ou à Dakar, les électeurs se sont fortement mobilisés malgré cette période de Ramadan.
Devant les bureaux de vote, femmes, hommes et même des personnes âgées et à mobilité réduite ont voulu accomplir tôt ce devoir et profiter du reste de la journée en attendant les résultats qui reflèteront la réalité des urnes, selon El Hadj Amadou qui a voté dans un bureau de vote à Dakar.
Macky Sall : « Je n’ai pas d’excuses à présenter, puisque je n’ai pas commis de faute »
« Le vote s’est bien déroulé pour l’instant et tout a été à l’heure vraiment. Dans notre bureau de vote, ça s’est passé plutôt rapidement. Pour le moment, il n’y a rien à signaler et nous espérons que ce sera ainsi jusqu’à la fin de la journée », a-t-il dit.
Souleymane est très ravi d’avoir aussi voté, puisque selon lui, la crise politique qui que vient de traverser le pays, a fait douter beaucoup de Sénégalais de la tenue de cette présidentielle.
« C’est un sentiment du devoir accompli. Nous avons voté dans le calme et nous espérons que cela va continuer ainsi jusqu’à la fin du vote », a-t-il ajouté.
Défilé des personnalités clés dans les bureaux de vote
Les candidats saluent le calme dans les bureaux de vote toute la matinée
Tour à tour, les différents acteurs politiques, que ce soient les candidats ou le président sortant, ont accompli leur devoir citoyen dans la matinée.
Le président sortant Macky Sall a voté dans un bureau de vote au centre Thierno Mamadou Sall à Fatick, une ville située à l’Ouest du Sénégal, à 137 Km de Dakar. Il était accompagné de la première dame, Mariène Faye Sall.
S’exprimant devant la presse après son vote, il a appelé les candidats à la retenue. « Il n’appartient ni à un candidat ni à un camp de proclamer une victoire ou des résultats », a-t-il averti.
Ousmane Sonko, le principal opposant au régime de Macky Sall, a, quant à lui, voté à Zinguinchor, la ville où il a été élu maire.
Il a appelé les Sénégalais à sortir massivement voter pour avoir un taux record de participation cette année. Il a également appelé ses partisans à être vigilant car, selon lui, il y a des informations sur des intentions de fraudes sur les résultats.
« La victoire sera éclatante. Ce soir à partir de 21 heures, nous aurons les premières tendances qui montreront que le candidat Bassirou Diomaye Faye passe à largement plus de 50% du suffrage», a-t-il déclaré après le vote.
Plus de 7,3 millions d’électeurs sont appelés à voter au Sénégal ce dimanche 24 mars 2024
Le candidat soutenu par Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye Faye a aussi accompli son devoir ce matin dans son terroir de Ndiaganio.
Il a appelé au calme après son vote, et souligné que c’est « le peuple souverain du Sénégal qui choisit son président », avant de lancer un appel à défendre la démocratie sénégalaise à travers cette élection.
« Je viens d’accomplir mon devoir civique dans mon village natal. Je demande à tous les Sénégalais de faire de même pour la victoire de la démocratie « , a-t-il lancé.
L’ancien Premier ministre, candidat de la Coalition du pouvoir, Amadou Ba a voté au centre HLM Grand Médine, dans le bureau numéro 08 vers la fin de la matinée.
« Nous lançons un message de paix. Le Sénégal nous appartient tous. La campagne électorale, quand bien même elle a été courte, s’est passée dans de bonnes conditions », a-t-il déclaré. et d’ajouter : « Mon souhait le plus ardent est que les sénégalais puissent connaitre le nom de leur prochain président dès demain matin. Je suis très confiant pour une victoire au premier tour « .
Ce même sentiment du devoir accompli a été également exprimé par les autres candidats qui ont tous salué le calme qui a prévalu dans les lieux de vote durant toute la matinée. Ils espèrent que la situation sera ainsi jusqu’à la fermeture des bureaux de vote à 18 heures.
La diaspora sénégalaise s’est également mobilisée
On a remarqué un engouement au sein de la diaspora sénégalaise au Congo, en France et en Italie pour l’élection présidentielle de ce dimanche 24 mars 2024.
En France, malgré le problème administratif que rencontrent les électeurs inscrits sur la liste mais qui ne retrouvent pas leur nom , au centre de Mantes-la-Jolie, plus de 200 personnes sont sous la pluie et attendent d’accomplir leur devoir civique , selon Mme Ndèye Salamata Diop, député sénégalaise en France.
» Il y a beaucoup d’électeurs qui se présentent au centre Mantes-la-Jolie, qui ont des cartes d’électeurs où c’est marqué Paris, ils sont basculés automatiquement à Mantes-la-Jolie, mais quand ils arrivent on leur dit qu’on n’a pas leurs noms. C’est un véritable problème car ces personnes sont sur la liste des électeurs et on ne les fait pas voter » , a-t-elle indiqué.
Elle a ajouté que les Sénégalais sont très mobilisés pour voter dans ce département, même les personnes à mobilité réduite.
Une mobilisation impressionnante selon la mission d’observation de l’UE
Cent (100) observateurs de la mission d’observation de l’Union européenne sont déployés dans toutes les régions du Sénégal dans le cadre de cette élection présidentielle.
Après avoir sillonné ce matin dans plus de 40 bureaux de vote, la mission se dit impressionnée par la mobilisation.
« Nous ne sommes qu’à la mi-journée du vote, mais ce qui se passe c’est que tout se déroule dans le calme. Nos observateurs seront là pour observer toute la journée.
Et on espère que cette journée va se passer dans des conditions apaisées, sans violence », a indiqué Malin Björk, Chef de la mission d’observation de l’UE au Sénégal.
Elle a souhaité que le vote pour le reste de la journée se passe dans la transparence et que les citoyens sénégalais puissent s’exprimer en toute quiétude.
« On invite les autorités chargées des élections au Sénégal à publier les résultats bureau de vote par bureau de vote pour la plus grande transparence pour toutes les parties prenantes », a-t-elle souligné, en appelant les autorités sénégalaises à faciliter l’accès aux centres de recensement à la mission d’observation.
Une mi-journée calme
Ce qu’on peut retenir pour le moment, c’est que le vote se déroule dans le calme, et aucun incident n’a été signalé jusque-là.
Les électeurs continuent d’affluer vers les centres de vote, avec de longues files devant les bureaux de vote.
Tous les regards sont maintenant tournés vers la fin de la journée pour faire un bilan global de ce dimanche de vote au Sénégal.
La riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024. Depuis 2012, le Sénégal a connu une transformation ni figue ni raisin dans le secteur de la riziculture. Et pourtant cette période a été marquée par une série d’initiatives gouvernementales visant à atteindre l’autosuffisance en riz, un aliment de base pour la population sénégalaise. Quel Bilan de 2012 à 2024 de l’évolution de la riziculture au Sénégal ? Quelles sot les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise ? Quel Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal ? Quel est le rôle de la riziculture dans l’économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans ?
Table des matières
Riziculture au Sénégal: Évolution de 2012 à 2024
En 2012, le gouvernement a lancé le Programme d’Autosuffisance en Riz (PASR), avec l’objectif de réduire les importations coûteuses et de stimuler la production nationale.
Ce programme a mis l’accent sur l’amélioration des infrastructures d’irrigation, l’introduction de variétés de riz à haut rendement et la formation des agriculteurs aux techniques agricoles modernes.
L’évolution de la riziculture au Sénégal : Bilan de 2012 à 2024
Au fil des ans, ces efforts ont porté leurs fruits mais qui restent en deçà des attentes de la population.
En 2024, le Sénégal n’a non seulement pas atteint ni dépassé son objectif d’autosuffisance.
La production de riz a quadruplé, passant de 500 000 tonnes en 2012 à plus de 2 millions de tonnes en 2024.
Cette augmentation est attribuable à l’expansion des surfaces cultivées, notamment dans la vallée du fleuve Sénégal et dans la région de Casamance, ainsi qu’à l’amélioration des rendements agricoles.
Les innovations technologiques dans la riziculture sénégalaise
L’impact économique de cette croissance est indéniable. Les agriculteurs bénéficient désormais d’un revenu plus stable et peuvent investir davantage dans leurs exploitations.
De plus, le Sénégal est en passe de devenir un exportateur de riz, ce qui pourrait transformer l’économie rurale et réduire la pauvreté dans les zones agricoles.
Impact des politiques agricoles sur la production rizicole au Sénégal
Cependant, cette réussite ne va pas sans défis. Le changement climatique continue d’affecter la riziculture avec des périodes de sécheresse plus fréquentes et des inondations imprévisibles.
De plus, il reste essentiel de maintenir les investissements dans la recherche agronomique pour développer des variétés résistantes aux maladies et aux stress environnementaux.
Le rôle de la riziculture dans l’économie sénégalaise : Une analyse sur douze ans
L’analyse de la riziculture au Sénégal de 2012 à 2024 révèle une évolution significative dans les méthodes de culture et la production.
En 2012, le Sénégal faisait face à une dépendance importante sur les importations de riz.
Cependant, grâce à l’initiative du gouvernement ‘La Grande Offensive pour la Nourriture et l’Abondance’ (GOANA), des efforts ont été faits pour augmenter la production nationale.
Au fil des ans, avec l’introduction de nouvelles technologies et pratiques agricoles, comme l’utilisation de semences améliorées et la mécanisation, la production de riz a considérablement augmenté.
Les agriculteurs ont également bénéficié de formations et d’un meilleur accès aux financements, ce qui a permis d’élargir les surfaces cultivées et d’améliorer les rendements.
En 2024, le Sénégal peine non seulement à atteindre l’autosuffisance en riz mais est toujours un exportateur dans la région, équation qui l’empêche de renforcer ainsi sa sécurité alimentaire et son économie.
Ce tableau noir et sombre est le résultat d’une politique agricole bien planifiée et d’une collaboration non efficace entre le gouvernement, les agriculteurs et les partenaires internationaux.
En conclusion, la riziculture au Sénégal entre 2012 et 2024 illustre comment une politique agricole ciblée et mal soutenue peut mener à une médiocre transformation économique significative.
Il reste à voir comment le secteur s’adaptera aux défis futurs pour maintenir sa trajectoire ascendante.
Tendouck est un village captivant du Sénégal, niché en Basse-Casamance. Ce lieu pittoresque se trouve à la croisée des chemins, accessible par la route depuis Bignona ou par voie fluviale depuis Ziguinchor, chacune à environ 30 km de distance. Tendouck fait partie intégrante de la communauté rurale de Mangagoulack et s’érige fièrement comme le chef-lieu de l’arrondissement.
Table des matières
Tendouck, le village captivant du Sénégal, niché en Basse-Casamance
Le village est bercé par les eaux tranquilles des multiples bras du fleuve Casamance, ce qui lui confère une atmosphère paisible et une biodiversité riche et variée.
La vie à Tendouck est rythmée par les activités fluviales et la pêche, essentielles à l’économie locale.
Les habitants de Tendouck, connus pour leur hospitalité chaleureuse, partagent une culture riche et des traditions ancestrales qui se reflètent dans leur quotidien.
En visitant Tendouck, on peut s’attendre à être accueilli avec un sourire et à être invité à découvrir les merveilles naturelles et culturelles du village.
Que ce soit en explorant les rives du fleuve ou en participant aux festivités locales, chaque moment passé à Tendouck promet d’être une expérience inoubliable.
Géographie
Le village est limité à l’Ouest par la mangrove et les palétuviers Rhizhofora, à l’Est par la forêt classée de Tendouck1, au Nord et au Sud par de vastes étendues de terres inondées pendant la saison des pluies et propices à la riziculture.
De par sa situation géographique, Tendouck est un carrefour important où convergent les principales routes de l’arrondissement (Tendouck-Thionck-Essyl, Kagnobon, Djimande, Bagaya, Diatock, Elana).
La voie fluviale permet également d’atteindre Ziguinchor dans de bonnes conditions.
Le village où vivent en parfaite harmonie musulmans, chrétiens et adeptes de la religion traditionnelle, compte, traditionnellement, quatre quartiers : Bourombone, Enébané, Djirkitang et Djibiack.
Population
Lors du dernier recensement (2002), la localité comptait 2 023 habitants et 282 ménages.
Économie
C’est un village d’agriculteurs (riz, mil, maïs, patate douce, haricots, mangues, orange, bananes,… mais aussi de pêcheurs (carpes, mulets, cobo, capitaines…) et d’éleveurs (volaille, bœufs, moutons, chèvres…) avec des potentialités en ressources naturelles diverses : apiculture, mangrove et produits halieutiques, ressources forestières.
Infrastructures
Tendouck abrite :
une Sous-préfecture (1960),
un Centre d’Expansion Rural Polyvalent (CERP 1960) de 9 agents,
une École primaire de 12 classes (1945),
un dispensaire (1978),
une maternité (1982),
un Foyer des jeunes (1967, reconstruit en 1987),
une centrale électrique (1984),
une forage (1991),
un poste de relais téléphonique (1990),
un marché,
un débarcadère,
une gare routière,
une école arabe,
une Grande mosquée,
une église,
un lieu de culte ancestral (Grand Baquine),
des boutiques,
trois moulins (riz et mil),
trois jardins de Groupements féminins.
Associations
L’Union des Associations des Jeunes de Tendouck (UAJT) qui regroupe tous les jeunes de Tendouck, de l’intérieur comme de la diaspora. Son but est de contribuer à l’émancipation sociale des jeunes.
Le Groupement Féminin de Tendouck qui regroupe les femmes et vise leur promotion sociale en contribuant à leur insertion dans le secteur productif et à l’allègement des travaux domestiques.
L’Association Honnoro de Tendouck qui regroupe l’ensemble des habitants et ressortissants originaires de Tendouck. Son but est de contribuer au développement socio-économique du village.
À cet égard, toutes les associations qui travaillent pour le développement de Tendouck et pour la sauvegarde des intérêts moraux et sociaux de ses habitants et ressortissants se considèrent comme des démembrements de Honnoro où elles constituent des comités, des sections géographiques ou des cellules.
Revue de Presse du 21 mars 2024. Kafunel, le leader sénégalais de l’information en ligne, présente aujourd’hui sa revue de presse couvrant les événements marquants au Sénégal, en Afrique et sur la scène internationale. Ce 21 mars 2024, plusieurs sujets captivent l’attention de nos lecteurs.
Table des matières
Revue de Presse du 21 mars 2024 sur Kafunel
Au Sénégal, la situation économique reste au cœur des préoccupations avec une analyse approfondie des dernières mesures gouvernementales visant à stimuler la croissance.
En Afrique, les projecteurs sont braqués sur la conférence panafricaine qui se tiendra la semaine prochaine, promettant des avancées significatives dans les domaines de la technologie et du développement durable.
Sur le plan international, la revue se penche sur les répercussions mondiales des récentes élections dans plusieurs pays clés et sur les enjeux climatiques qui continuent de dominer l’agenda politique mondial.
Regarder la Revue de Presse du 21 mars 2024 sur Kafunel
Le Préfet de Mbour annonce avoir reçu le matériel électoral. A quatre (4) jours de la Présidentielle, le préfet du département de Mbour, Mamadou Lamine Mané, annonce avoir reçu tout le matériel électoral destiné au du scrutin du 24 mars 2024.
Table des matières
Préfet de Mbour annonce avoir reçu le matériel électoral
”Nous avons reçu l’ensemble du matériel. Actuellement nous sommes dans une phase où nous allions le conditionnement et le déploiement d’une partie du matériel“, a informé le préfet du département de Mbour.
Selon Mamadou Lamine Mané, des équipes sont déjà sur le terrain pour déployer le matériel lourd.
«Il n’y a pas de nouveaux lieux de vote pour cette élection“, a fait savoir M. Mané. Il rassure que sur le plan sécuritaire, « toutes les dispositions sont prises pour assurer la sécurité » , a t-il rassuré.
A l’en croire, huit communes seront totalement couvertes par la gendarmerie et les autres par l’armée. La zone urbaine de Mbour commune et Saly, relève de la compétence de la police, a-t-il ajouté.
Il informe par ailleurs que le déploiement des forces de l’ordre et de sécurité se fera au plus tard vendredi, soit deux jours avant le scrutin.
La caravane Diomaye Président attendue à Mata, Mimi Touré alerte : « Il nous revient des rumeurs d’attaques… ». Alors que la caravane Diomaye Préside est attendue, ce mercredi 20 mars 2024, à Matam, Aminata Touré, membre de l’élite coalition, a alerté suite aux rumeurs « d’attaques et de guet-apens planifiés par des responsables politiques de la Coalition Benno Bokk Yaakaar clairement identifiés.»
Table des matières
Caravane Diomaye Président attendue à Mata, Mimi Touré alerte : « Il nous revient des rumeurs d’attaques… »
Ci-dessous sa publication !
« Notre caravane nationale se rendra aujourd’hui à Matam comme elle l’a fait sur l’ensemble du territoire national.
Il nous revient des rumeurs d’attaques et de guet-apens planifiés par des responsables politiques de la Coalition Benno Bokk Yaakaar clairement identifiés.
Le maire de Ourossogui de la Coalition Benno Bokk Yaakaar a déjà tenu, il y a deux jours, des propos ethnicistes graves qui ont fini de scandaliser tout le pays.
Ces leaders politiques, qui n’ont plus que l’argument de la violence, seront tenus pour responsables de tout incident grave à venir.
Nous prônons une fin de campagne électorale dans la paix et que le 24 mars, le Peuple sénégalais souverain puisse choisir librement son prochain Président à travers des élections libres et transparentes. »
Les patrons de presse au palais, interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle. Peu serait de dire que le Président Macky Sall a gâté les patrons de presse lors d’une rencontre tenue au palais présidentiel ce lundi. En tant que chef national du patronat, le président de la République a bien fait de procéder à l’effacement des impôts et taxes dus par ces entreprises. Une bouffée d’oxygène financière certes, mais remis en question par le contexte mal choisi ou bien calculé, c’est selon.
Table des matières
Patrons de presse au palais: interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle
L’audience accordée par le Président Macky Sall aux patrons de presse juste avant la période électorale soulève des interrogations légitimes quant à ses motivations et ses implications potentielles sur l’indépendance de la presse.
Cette rencontre, qui s’est soldée par l’annonce d’une annulation des dettes fiscales des entreprises de presse, pourrait être perçue comme un geste de bonne volonté envers un secteur crucial pour la démocratie.
Toutefois, elle pourrait également être interprétée comme une tentative d’influencer la couverture médiatique en faveur du gouvernement en place.
Il est essentiel de reconnaître l’importance d’une presse libre et indépendante, surtout en période électorale où les citoyens dépendent des médias pour prendre des décisions éclairées.
Les patrons de presse ont donc une responsabilité considérable dans la manière dont ils choisissent de rapporter les événements et les politiques.
L’effacement des impôts et taxes peut certes apporter un soulagement financier immédiat, mais il est impératif que cela ne compromette pas l’intégrité journalistique.
La question demeure: cette audience était-elle une simple coïncidence ou un calcul politique?
La réponse à cette question pourrait avoir des répercussions significatives sur la confiance accordée aux médias et sur le paysage politique sénégalais dans son ensemble.
La récente audience accordée par le palais à certains patrons de presse juste avant les élections présidentielles soulève des questions importantes sur l’indépendance et l’intégrité des médias dans le contexte politique actuel.
Cette rencontre, qui pourrait être perçue comme une simple coïncidence, suscite néanmoins des interrogations légitimes quant à son timing et ses motivations potentielles.
L’importance de la presse en tant que quatrième pouvoir est indéniable, jouant un rôle crucial dans la formation de l’opinion publique et dans la garantie d’une démocratie saine.
Cependant, lorsque les médias sont perçus comme étant trop proches du pouvoir politique, cela peut éroder la confiance du public et soulever des questions sur leur capacité à rester objectifs et non partisans.
Analyse approfondie des relations entre les médias et le pouvoir politique au Sénégal
La question demeure donc: cette audience était-elle une simple coïncidence ou un calcul politique? La réponse à cette interrogation est complexe et nécessite une analyse approfondie des relations entre les médias et le pouvoir politique au Sénégal.
Il est essentiel que les médias maintiennent leur indépendance pour préserver la confiance du public et assurer une couverture équitable et précise des événements politiques.
Les répercussions d’une telle audience sont significatives, non seulement pour la crédibilité des médias concernés mais aussi pour le paysage politique sénégalais dans son ensemble.
Il est impératif que les patrons de presse fassent preuve de transparence quant à leurs interactions avec les figures politiques pour éviter tout malentendu ou suspicion de partialité.
En conclusion, bien que l’audience en question puisse être sujette à interprétation, il est crucial que les médias sénégalais continuent de s’engager en faveur d’un journalisme responsable et indépendant, surtout en période électorale où les enjeux sont particulièrement élevés.
Me Moussa Bocar Thiam, Me Wade et Me Moussa Diop… quand la robe noire se déchire en public ! Si depuis les manifestations politiques au Sénégal en 2021 ont complètement remis en question la paix intérieure du Sénégal, les discours de nos hommes aussi de plus en plus se révèlent comme de réels dangers pour la stabilité du pays.
Table des matières
Me Moussa Bocar Thiam, Me Wade et Me Moussa Diop… quand la robe noire se déchire en public !
La dernière déclaration de Me Moussa Bocar Thiam, maire de la commune d’Ourossogui et ministre des Télécommunications, est une parfaite illustration que les enjeux électoraux, parfois, font perdre la raison à certains hommes politiques.
Des dérives de langage qui exposent le Sénégal à des affrontements intercommunautaires sont notées à chaque fois, le pays se trouve dans un contexte électoral.
Le podium des pires déclarations politiques au Sénégal Lors d’une caravane organisée dans la ville d’Ourossogui, le ministre Me Moussa Bocar Thiam avait affirmé que les membres de la communauté « Wolofs » ne pouvaient pas se rendre à Ourossogui pour travailler et gagner leur vie, puis voter contre le candidat du pouvoir, Amadou Bâ.
Tout serait dévoilé après l’élection présidentielle…
En allant plus loin, il avait exprimé sa connaissance de tout ce qui se déroulait. Il avait prétendu que tout serait dévoilé après l’élection présidentielle.
Daouda Thiam, expert en communication, soutient que le ministre des Télécommunications a dépassé les limites.
« À l’heure actuelle du Sénégal, la récente déclaration de Me Bocar Thiam, ministre des Télécommunications, suscite de sérieuses préoccupations quant à la direction que prend la campagne électorale.
En incitant explicitement les Wolofs à voter pour Amadou Ba, Me Thiam a non seulement dépassé une limite en matière de politique de division, mais il a également mis en lumière un aspect préoccupant de la stratégie électorale en cours », martèle-t-il.
Fronde au PDS, une section dévoile officiellement son candidat pour la Présidentielle. Ce mercredi 20 mars 2024, des pontes du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) ont tenu une conférence de presse à l’hôtel Fleur de Lys au Point E de Dakar.
Table des matières
Fronde au PDS, une section dévoile officiellement son candidat pour la Présidentielle
Cette réunion était l’occasion pour des responsables des Fédérations départementales du parti de dévoiler leur candidat choisi pour la prochaine élection présidentielle.
Toutefois, ceci s’apparente plus à une fronde interne qu’autre chose.
Après des délibérations internes, ces membres du PDS ont, en effet, annoncé leur soutien en faveur d’Amadou Ba, le candidat placé par Macky Sall, actuel président sortant.
Cette décision a été présentée par le Secrétaire général de la Fédération Départementale de Linguère, Abdou Thiam, comme un choix visant à renforcer les chances du parti dans le paysage politique sénégalais.
Le point de presse de la maire de Dakar, initialement prévu ce vendredi à 18 h 30, est maintenu à la même date, mais il aura lieu à 16 h, à la mairie ...
Update Contents
We would like to show you notifications for the latest news and updates.