Scandale au Sommet – Baltasar Ebang Engonga dépensait ! Baltasar Ebang Engonga et le Détournement des Fonds Publics de Guinée Équatoriale. Ce scandale Baltasar Ebang Engonga expose des dérives de pouvoir qui ne devraient plus rester impunies. Les appels à la justice et à la transparence résonnent à l’échelle nationale et internationale, alors que la Guinée équatoriale se trouve à un carrefour historique pour assainir sa gouvernance.
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Baltasar Ebang Engonga dépensait près de 45 000 euros pour des ébats filmés aux frais de l’État
Le gouvernement équato-guinéen est secoué par un scandale majeur impliquant Baltasar Ebang Engonga, figure influente de la politique nationale, accusé d’avoir détourné des fonds publics pour financer des dépenses personnelles scandaleuses.
Une enquête récente révèle que près de 2,3 millions d’euros (soit environ 1,5 milliard de FCFA) auraient été détournés en l’espace de quatre ans, incluant des sommes astronomiques allouées à des rencontres privées et compromettantes.
45 000 € Mensuels : Des Dépenses Intolérables
Les révélations choquantes montrent que Baltasar Ebang Engonga dépensait en moyenne 45 000 euros mensuels – l’équivalent de 29 514 747 FCFA – pour des activités personnelles, principalement dans des rencontres filmées avec des partenaires féminines dans des locaux officiels.
Le montant représente plus du triple du budget alloué mensuellement aux projets de développement dans certaines provinces rurales du pays, exacerbant le contraste entre les dépenses extravagantes au sommet de l’État et les besoins criants de certaines régions du pays.
Les vidéos compromettantes, filmées avec le drapeau national en arrière-plan, montrent Engonga dans des situations privées, révélant un usage abusif de symboles et de ressources publiques dans le cadre de ses ébats.
Ces enregistrements, réalisés à l’intérieur de bâtiments administratifs, marquent un symbole d’irrespect flagrant envers les valeurs et le budget public de la Guinée équatoriale.
Un Réseau de Corruption Étendu et Structuré
Le système de détournement de fonds publics ne se limite pas aux seuls actes de Baltasar Ebang Engonga. Les documents financiers et les témoignages obtenus indiquent que plusieurs autres hauts fonctionnaires seraient impliqués, contribuant à couvrir ces dépenses en les dissimulant sous des lignes budgétaires « confidentielles » ou diplomatiques.
Ce réseau bien structuré de complicité révèle l’ampleur de la corruption sexuelle au sein de l’État, où l’argent public est utilisé à des fins strictement privées, avec peu ou pas de responsabilité.
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Les sommes astronomiques détournées incluent des frais pour des services privés, des voyages, et des réceptions coûteuses.
Ces dépenses, inappropriées pour un haut fonctionnaire, soulèvent la question de la moralité et de la légitimité du pouvoir en Guinée équatoriale.
2,3 Millions d’Euros en Quatre Ans : Le Prix de la Corruption Sexuelle
Selon les chiffres communiqués par une enquête interne, le montant total du détournement est estimé à 2,3 millions d’euros sur quatre ans, soit environ 1,5 milliard de FCFA.
Ce chiffre colossal expose le niveau d’abus de fonds publics, détournés vers des activités n’ayant aucun rapport avec les missions de l’État ou les besoins de la population.
Les enregistrements vidéo, rendus publics par des sources internes, mettent en lumière l’utilisation flagrante des symboles d’État dans des affaires personnelles, marquant un manque de respect pour le bien public.
Cette somme, détournée en vue d’activités sexuelles filmées, représente une atteinte aux valeurs de l’État et une injure aux populations rurales et démunies, qui luttent encore pour accéder aux services de base.
Une Indignation Nationale et des Appels à la Justice
Face aux preuves chiffrées de ce détournement de fonds publics à des fins privées, l’indignation monte au sein de la population équato-guinéenne.
De nombreux citoyens et organisations de la société civile appellent à des poursuites judiciaires et à une enquête indépendante pour élucider toute la vérité et sanctionner les coupables.
Les protestations sont renforcées par des voix de la diaspora qui exigent que justice soit rendue et que de telles pratiques ne se reproduisent plus.
Les organisations internationales anti-corruption, quant à elles, exhortent la communauté internationale à prendre des sanctions contre Baltasar Ebang Engonga et les autres responsables impliqués, appelant à une surveillance accrue de la gestion des fonds publics en Guinée équatoriale.
Vers un Renforcement de la Transparence et de l’Éthique ?
Ce scandale pourrait marquer un tournant décisif pour la gouvernance et l’éthique publique en Guinée équatoriale.
Alors que l’État se débat pour restaurer sa réputation, des voix s’élèvent pour exiger des réformes structurelles, qui pourraient renforcer la transparence financière et réduire la corruption systémique.
Cependant, pour l’instant, le silence des autorités laisse planer des doutes sur une réelle prise de conscience au sommet de l’État.