Communication politique : Diomaye n’est pas Sonko ! Savoir bien communiquer, et surtout, gérer les contraintes entourant l’information au moment d’une annonce, constitue les ingrédients déterminants de sa réception. Depuis qu’il a lancé sa campagne après avoir été libéré de prison, Bassirou Diomaye pèche dans sa communication, étant agreste et bucolique. Avec son débit vocal, il ne rassure pas. S’il est un homme policé et très mesuré, on ne peut cependant pas lui attribuer le surnom de « communicator ».
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Communication politique : Diomaye n’est pas Sonko !
La communication politique est un art délicat qui nécessite une maîtrise parfaite des mots et du timing.
Savoir bien communiquer, et surtout, gérer les contraintes entourant l’information au moment d’une annonce, constitue les ingrédients déterminants de sa réception.
Depuis qu’il a lancé sa campagne après avoir été libéré de prison, Bassirou Diomaye pèche dans sa communication.
Son approche agreste et bucolique ne semble pas adaptée au monde politique moderne où l’image et la précision du message sont primordiales.
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Avec son débit vocal rapide et parfois difficile à suivre, il ne rassure pas l’électorat qui cherche à être guidé avec clarté et assurance.
S’il est un homme policé et très mesuré dans ses interactions personnelles, sa manière de communiquer en public laisse à désirer.
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On ne peut cependant pas lui attribuer le surnom de « communicator » car il manque cette étincelle qui caractérise les grands orateurs politiques capables de captiver leur audience et de transmettre leur vision avec conviction.
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Il est essentiel pour tout politicien aspirant à un leadership efficace de développer une stratégie de communication qui résonne avec les attentes des citoyens et qui véhicule les valeurs et les objectifs de sa campagne avec cohérence et authenticité.
