Le débat relancé sur fond de tension entre Alger et Paris. Le dossier de la criminalisation du colonialisme français revient avec insistance ces derniers jours.
Débat relancé sur fond de tension entre Alger et Paris
Des voix, au Parlement, au sein des partis politiques, comme chez des historiens, s’élèvent pour réclamer le dégel du projet de loi, bloqué depuis des années.
Saisissant la tension diplomatique entre l’Algérie et la France, suscitée par les propos du président français, Emmanuel Macron, sur l’Algérie et ses décisions sur la réduction du nombre de visas accordés aux Algériens, elles réclament également des pressions sur l’ex-puissance coloniale pour une reconnaissance et une réparation.
Remettre sur la table le projet de loi criminalisant le fait colonial
Parmi ces voix, il y a celle de l’historien, Mohamed El Korso. Dans une déclaration à l’APS, il estime «impératif» de remettre sur la table le projet de loi criminalisant le fait colonial.
«Il serait impératif de remettre sur la table le projet de loi criminalisant le fait colonial qui doit être peaufiné par des spécialistes de renom», plaide-t-il.
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