Événement tragique à Pikine : La version de la police. L’incident tragique survenu à Pikine, impliquant la mort de Seydina Mouhamed Diop, a suscité une vive émotion au sein de la communauté. Les circonstances de son décès après une altercation avec la police ont conduit à des manifestations et des affrontements, reflétant la tension entre les résidents et les forces de l’ordre. Une enquête approfondie a été lancée pour élucider les détails de l’événement et apporter des réponses aux nombreuses questions soulevées.
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Événement tragique à Pikine : La version de la police
Dans un incident tragique récent à Pikine, la police se retrouve au centre des accusations après la mort du jeune Seydina Mouhamed Diop.
Les autorités policières ont réagi en fournissant leur compte rendu des événements.
Intervention suite à un signalement
Un communiqué de la police, relayé par la presse sénégalaise, révèle que
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Confrontation avec une résistance acharnée
Lors de l’identification des suspects, les agents ont rencontré une forte résistance. Une bagarre a éclaté avant que la police ne parvienne à maîtriser deux des individus incriminés.
Cependant, un membre de la bande, déjà connu des services de police pour des infractions similaires, a réussi à s’échapper.
Tentative d’intervention extérieure
En route vers le commissariat, près de « Bountou Pikine », le véhicule de police a été attaqué par un groupe d’individus tentant en vain de libérer les personnes interpellées.
Assistance médicale et transfert
Suite à une demande d’assistance médicale, les suspects ont été examinés par un médecin, qui a recommandé leur transfert au centre de santé Dominique.
Pendant les premiers soins, il a été décidé de transférer Seydina Mouhamed Diop à l’hôpital principal de Dakar en raison de problèmes respiratoires graves.
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Malheureusement, il est décédé dans la nuit du 24 au 25 mars 2024, malgré l’intervention des pompiers.
Enquête en cours
Pour élucider les circonstances de la mort de Mouhamed Diop, une enquête a été confiée à la Division des Investigations Criminelles (DIC), comme l’a confirmé la police.