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Le temps est à la miniaturisation et à l’amélioration de la fiabilité. Les unités de stockage n’échappent pas à cette nouvelle règle d’or ! Ainsi, déjà en 1999, IBM vendait un mini-disque dur de 340 Mo aussi gros qu’une pièce de monnaie, un record de miniaturisation à l’époque.

Aujourd’hui, ce sont les minuscules cartes microSD des mobiles qui sont devenues la norme, avec, généralement, au moins 32 gigaoctets (Go) de capacité de stockage.

Parallèlement, du côté des disques durs traditionnels, la densité ne cesse d’augmenter.

Alors qu’à l’horizon 2000, la technologie d’IBM permettait d’enregistrer 35,3 milliards de bits par pouce carré sur le disque dur Ultrastar 72ZX, aujourd’hui, le dernier record en date est celui du HGST Ultrastar He12, de Western Digital (voir image ci-dessus).

Il dispose d’une densité de 864 milliards de bits par pouce carré pour 12 téraoctets (To) de capacité totale.

À l’intérieur d’un boîtier de disque dur classique, huit disques sont superposés, ce qui est également une prouesse.

Le disque dur a aussi la particularité d’être rempli d’hélium pour réduire les frottements et la température des plateaux.

Mieux encore, une équipe de l’université de Delft (Pays-Bas) a créé un disque dur stockant les données à l’échelle atomique. Sa densité de stockage serait 500 fois supérieure à celle du meilleur disque dur du marché.

Quant aux DVD et aux Blu-Ray, ils seront bientôt totalement remplacés par la mémoire flash sous différentes formes, le stockage en ligne (cloud) et le streaming pour remplacer les vidéos sur ces supports.

 

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