Comment négocier avec Palo Alto : un guide complet. Palo Alto est une ville située dans la Silicon Valley, en Californie, qui abrite de nombreuses entreprises innovantes et prestigieuses, comme Google, Facebook, Tesla ou Stanford. Si vous souhaitez faire affaire avec ces acteurs majeurs du secteur technologique, vous devez savoir comment négocier avec Palo Alto. Négocier avec Palo Alto n’est pas une tâche facile, car vous serez confronté à des interlocuteurs exigeants, compétents et habitués à obtenir ce qu’ils veulent. Vous devrez donc adopter une stratégie de négociation adaptée à ce contexte particulier. Dans cet article, nous allons vous donner quelques conseils pour réussir votre négociation avec Palo Alto, en abordant les points suivants :
Table des matières
Négocier avec Palo Alto : Voici un guide complet de 7 secrets
L’approche de l’école de Palo Alto est une méthode de négociation qui se concentre sur la gestion de la relation entre les parties prenantes, en plus de la communication verbale.
Selon Patrice Stern et Jean Mouton, auteurs de « La boîte à outils de la Négociation », cette approche vous permet d’organiser votre relation avec les interlocuteurs pour que rien ne vienne freiner la transmission des messages et arguments qui leur sont destinés.
Comment se préparer à la négociation
La préparation est la clé d’une négociation réussie. Avant de rencontrer votre interlocuteur, vous devez vous renseigner sur son profil, son entreprise, son marché, ses besoins, ses attentes, ses contraintes et ses motivations.
Vous devez également définir votre objectif, votre position de départ, votre marge de manœuvre et vos points non négociables.
Vous devez également anticiper les questions que votre interlocuteur pourrait vous poser, ainsi que les éventuels points de désaccord ou de conflit.
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Préparez des réponses claires et convaincantes, ainsi que des solutions alternatives ou des concessions possibles.
Enfin, vous devez vous mettre dans un état d’esprit positif et confiant. N’oubliez pas que vous avez quelque chose de valeur à offrir à votre interlocuteur, et que vous êtes capable de trouver un accord gagnant-gagnant.
Comment établir une relation de confiance avec votre interlocuteur
La première impression est cruciale dans une négociation. Vous devez donc soigner votre apparence, votre langage corporel et votre communication verbale.
Habillez-vous de manière professionnelle, souriez, serrez la main fermement, regardez votre interlocuteur dans les yeux et utilisez un ton respectueux et courtois.
Ensuite, vous devez créer un climat de confiance et de coopération avec votre interlocuteur.
Pour cela, vous pouvez utiliser des techniques comme :
- – Le rapport : il s’agit d’établir une connexion émotionnelle avec votre interlocuteur en lui montrant de l’intérêt, de l’empathie et de la compréhension. Vous pouvez par exemple lui poser des questions ouvertes sur son parcours, son entreprise, ses projets ou ses passions.
- – Le miroir : il s’agit de reproduire subtilement le comportement, les gestes ou les expressions de votre interlocuteur pour créer une synchronisation et une harmonie. Vous pouvez par exemple adopter la même posture, le même rythme de parole ou le même vocabulaire que lui.
- – Le compliment : il s’agit de valoriser votre interlocuteur en lui faisant des remarques positives sur son travail, ses compétences ou ses réalisations. Vous pouvez par exemple lui dire que vous admirez son entreprise, que vous appréciez sa vision ou que vous êtes impressionné par ses résultats.
Ces techniques vous permettront de créer un lien avec votre interlocuteur et de renforcer sa confiance en vous.
Comment présenter votre offre et vos arguments
Après avoir établi une relation de confiance avec votre interlocuteur, vous devez lui présenter votre offre et vos arguments.
Votre offre doit être claire, précise et adaptée aux besoins et aux attentes de votre interlocuteur. Vos arguments doivent être solides, crédibles et basés sur des faits ou des preuves.
Vous devez également structurer votre discours selon la méthode AIDA :
- – Attention : il s’agit d’attirer l’attention de votre interlocuteur en utilisant un accrocheur ou une phrase choc. Vous pouvez par exemple commencer par une statistique surprenante, une citation inspirante ou une question provocatrice.
- – Intérêt : il s’agit de susciter l’intérêt de votre interlocuteur en lui expliquant les bénéfices et les avantages de votre offre. Vous pouvez par exemple lui montrer comment votre offre peut résoudre son problème, lui faire gagner du temps ou de l’argent, ou lui apporter de la valeur ajoutée.
- – Désir : il s’agit de créer le désir chez votre interlocuteur en lui faisant ressentir des émotions positives. Vous pouvez par exemple lui raconter une histoire, lui faire une démonstration, lui faire un témoignage ou lui proposer une garantie.
- – Action : il s’agit de pousser votre interlocuteur à l’action en lui demandant de prendre une décision ou de s’engager. Vous pouvez par exemple lui faire une offre spéciale, lui donner un délai, lui suggérer une prochaine étape ou lui demander son avis.
Comment gérer les objections et les contre-propositions
Il est normal que votre interlocuteur exprime des objections ou des contre-propositions lors d’une négociation.
Cela ne signifie pas qu’il rejette votre offre, mais qu’il cherche à obtenir plus d’informations, à clarifier certains points ou à obtenir de meilleures conditions.
Vous devez donc accueillir les objections et les contre-propositions avec calme et ouverture. Ne les prenez pas comme des attaques personnelles, mais comme des opportunités de dialogue et de progrès.
Pour répondre aux objections et aux contre-propositions, vous pouvez utiliser la méthode FEEL :
- – Faites preuve d’empathie : il s’agit de reconnaître l’objection ou la contre-proposition de votre interlocuteur et de lui montrer que vous comprenez son point de vue. Vous pouvez par exemple dire « Je comprends votre préoccupation », « Je vois ce que vous voulez dire » ou « C’est une bonne question ».
- – Explorez les raisons : il s’agit de creuser l’objection ou la contre-proposition de votre interlocuteur et de découvrir les raisons qui la motivent. Vous pouvez par exemple dire « Pouvez-vous m’en dire plus ? », « Qu’est-ce qui vous fait penser cela ? » ou « Quel est le problème exactement ? ».
- – Éliminez les doutes : il s’agit de lever les doutes ou les craintes de votre interlocuteur et de rétablir la confiance. Vous pouvez par exemple dire « Voici les faits », « Voici les preuves » ou « Voici les garanties ».
- – Lancez un appel à l’action : il s’agit de relancer la négociation et d’inciter votre interlocuteur à avancer vers un accord. Vous pouvez par exemple dire « Maintenant que nous avons clarifié ce point, que pensez-vous de notre offre ? », « Est-ce que cela répond à vos attentes ? » ou « Êtes-vous prêt à passer à l’étape suivante ? ».
Comment conclure la négociation et assurer le suivi
Lorsque vous avez répondu aux objections et aux contre-propositions de votre interlocuteur, et que vous avez trouvé un terrain d’entente, vous devez conclure la négociation et assurer le suivi.
Pour conclure la négociation, vous devez résumer les points clés de l’accord, confirmer l’engagement mutuel et remercier votre interlocuteur.
Vous devez également formaliser l’accord par écrit, en signant un contrat ou un bon de commande.
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Pour assurer le suivi, vous devez respecter vos engagements, livrer ce que vous avez promis, vérifier la satisfaction de votre interlocuteur et maintenir le contact avec lui.
Vous devez également chercher à fidéliser votre interlocuteur, en lui proposant des services complémentaires, des offres personnalisées ou des recommandations.
Conclusion
Négocier avec Palo Alto est un défi passionnant, qui peut vous permettre de décrocher des contrats lucratifs et prestigieux.
Pour réussir votre négociation avec Palo Alto, vous devez vous préparer minutieusement, établir une relation de confiance avec votre interlocuteur, présenter votre offre et vos arguments avec clarté et conviction, gérer les objections et les contre-propositions avec habileté et diplomatie, et conclure la négociation et assurer le suivi avec professionnalisme.
Si vous suivez ces conseils, vous pourrez négocier avec Palo Alto comme un pro !