Bonjour à tous, aujourd’hui nous allons vous parler d’un sujet qui nous révolte : le réseau des certificats médicaux de complaisance. Vous savez, ces documents qui permettent à certains individus de se soustraire à la justice, à la responsabilité ou à la morale en invoquant des troubles mentaux imaginaires. Ces certificats sont délivrés par des médecins véreux, complices de leurs patients, qui profitent de leur statut pour bafouer l’éthique médicale et tromper les autorités.
Table des matières
Réseau des certificats médicaux de complaisance
Ces pratiques sont malheureusement très répandues dans notre pays, et touchent tous les domaines : politique, justice, administration, éducation, etc.
Les directeurs de certains districts sanitaires cités sont impliqués dans ce trafic honteux, qui leur rapporte gros au détriment de la santé publique et du bien commun.
Ils ferment les yeux sur les agissements de leurs subordonnés, voire les encouragent ou les protègent. Ils font ainsi preuve d’une complicité criminelle avec les auteurs de ces faux certificats.
Mais qui sont ces auteurs ?
Ce sont des personnes sans scrupules, qui n’hésitent pas à mentir, à manipuler, à tricher, à voler, à violer ou à tuer pour assouvir leurs pulsions ou leurs intérêts personnels.
Ce sont des psychopathes, qui se moquent des conséquences de leurs actes sur les autres et sur la société.
Ils utilisent les certificats médicaux de complaisance comme une couverture, un alibi, une excuse pour échapper à la sanction ou à la réparation.
Ils se font passer pour des victimes, des malades, des innocents, alors qu’ils sont en réalité des coupables, des malfaiteurs, des coupables.
Comment lutter contre ce fléau ? Comment démasquer ces imposteurs ?
Comment reconnait-on un vrai certificat médical d’un faux ? Il n’existe pas de réponse simple à ces questions, mais il existe des pistes à explorer. Par exemple, il faut vérifier la source du certificat : est-ce un médecin reconnu, compétent, indépendant ?
Est-ce qu’il a examiné le patient en personne, ou seulement par téléphone ou par internet ? Est-ce qu’il a consulté son dossier médical, ou seulement sa parole ? Est-ce qu’il a établi un diagnostic précis, basé sur des critères objectifs et scientifiques ? Est-ce qu’il a prescrit un traitement adapté et suivi son évolution ?
Ensuite, il faut analyser le contenu du certificat : est-ce qu’il est cohérent avec les faits reprochés au patient ? Est-ce qu’il est compatible avec son comportement habituel ?
Est-ce qu’il est proportionné à la gravité de la situation ? Est-ce qu’il est daté et signé par le médecin ? Est-ce qu’il comporte un cachet officiel et un numéro d’identification ?
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Enfin, il faut confronter le certificat aux autres éléments du dossier : est-ce qu’il y a des témoignages, des preuves matérielles, des expertises contradictoires qui contredisent ou confirment le certificat ?
Est-ce qu’il y a des antécédents judiciaires ou médicaux qui corroborent ou infirment le certificat ? Est-ce qu’il y a des motifs ou des circonstances qui expliquent ou justifient le recours au certificat ?
Face au cirque des menteurs qui cherchent à incriminer les honnêtes gens ou à se disculper eux-mêmes en utilisant les certificats médicaux de complaisance, il faut rester vigilant et critique.
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Il faut dénoncer ces pratiques frauduleuses et immorales, qui portent atteinte aux droits et aux devoirs de chacun.
Il faut réclamer plus de contrôle et de sanction pour les auteurs et les complices de ces faux certificats. Il faut exiger plus de respect et de rigueur pour la profession médicale et pour la vérité.