La France métropolitaine abrite 136 espèces d'arbres (chiffre du ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt). © Steve Grosbois, Flickr, cc by nc sa 2.0
La France métropolitaine abrite 136 espèces d'arbres (chiffre du ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt). © Steve Grosbois, Flickr, cc by nc sa 2.0

En biologie, un arbre peut désigner un végétal ou une représentation schématique d’une classification.

L’arbre, végétal lignifié

Un arbre est un végétal supérieur terrestre, qu’il soit gymnosperme ou angiosperme, qui se rigidifie grâce à une croissance secondaire (celle qui produit du bois).

Cette lignification lui permet ainsi de grandir en hauteur, au-delà de sept mètres, en étant soutenu par un tronc.

Grâce à leur hauteur et à leur forte occupation spatiale, notamment à la suite de la présence de branches persistantes portant des feuilles, les arbres possèdent de grandes surfaces d’échange pour la photosynthèse.

Précisons encore que ce sont des organismes pérennes, ce qui signifie qu’ils peuvent vivre des années, des décennies, des centenaires, voire des millénaires.

Les arbres, qu’ils soient isolés ou rassemblés en forêt, jouent un rôle écologique majeur. Grâce à la photosynthèse, ils fixent du carbone atmosphérique.

Par ailleurs, ils participent activement au cycle de l’eau, au travers de l’évapotranspiration. Enfin, ils constituent des écosystèmes complexes et servent de refuges de biodiversité.

L’arbre en phylogénie et en généalogie

Des arbres sont utilisés en généalogie et en phylogénie pour représenter schématiquement des filiations entre personnes ou taxons à partir d’un ancêtre commun.

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