Obéissance.
L’obligation d’obéissance hiérarchique s’impose d’autant plus que «les spécificités du métier de diplomate font que l’on attend de celles et de ceux qui l’exercent un ensemble d’aptitudes, de qualités et de vertus […] nécessaires à la réussite de leur mission».
Ainsi est-il insisté sur le «devoir de loyauté à l’égard du supérieur hiérarchique», qui implique entre autres «d’obéir aux ordres», sauf «ordres illégaux et portant gravement atteinte à l’ordre public», et de ne pas «contredire ouvertement son supérieur au cours d’une réunion avec un tiers».